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A Ray of Light as an Act of Betrayal

Vesselin Somlev

Lacan posits that the non-existence of the sexual relation is bridged by love, which functions as a transference – an attempt to bridge an inherent lack. However, on Mount Olympus, the sexual relation seems to exist. The act of revelation by Psyche disrupts this order: through the gaze, she not only reveals the god Eros but also exposes her own lack, unfolding the question of her desire.

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Amour Artificiel

Sophia Kastanidou

Comme nous le dit Lacan, « ce qui supplée au rapport sexuel, c’est précisément l’amour », cet amour qui se compose d'une jouissance auto-érotique, « la jouissance [qui] se produit toujours dans le corps de l’un, mais par le moyen du corps de l’Autre», comme nous l'enseigne J.-A. Miller. Mais en l’absence du corps vivant de l'Autre, l'amour artificiel échoue, la « relation » apparaît unilatérale et l'utilisateur demeure dans le réel de sa jouissance.

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« Reprenons la question Qu’est-ce que l’os d’une cure ? Après avoir rappelé l’imaginaire, l’identification phallique et le fantasme, nous arrivons à la dernière réponse : l’os d’une cure, c’est le symptôme, précisément le partenaire-symptôme, c’est-à-dire un mode de jouir. »

Miller J.-A., L’Os d’une cure, Paris, Navarin, 2018, p. 72.