ASREEP-NLS : Compte rendu du Séminaire ASREEP-NLS vers Dublin 2016: « Signes discrets dans les psychoses ordinaires »

 

 

 

 

 

 

 

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Compte rendu du Séminaire ASREEP-NLS vers Dublin 2016: « Signes discrets dans les psychoses ordinaires »

 

 

 


Résonances de la première réunion Séminaire ASREEP-NLS vers Dublin 2016: « Signes discrets dans les psychoses ordinaires »


Par Sandra PAX-CISTERNAS, Coordinatrice du séminaire

« J’ai inventé un mot, j’ai inventé une expression, j’ai inventé un signifiant, en donnant une esquisse de définition pour attirer les différents reflets de sens autour de ce signifiant » J.A.Miller 2008.

La première soirée de travail vers le congrès de la NLS 2016 « Signes discrets dans les psychoses ordinaires » a eu lieu à Genève le 13 avril 2016.

Les textes de J.A. Miller « Effet retour sur la psychose ordinaire » paru dans Revue Quarto 94-95, 2009 ; d’Yves Vanderveken, qui a servi d’argument pour le prochain congrès NLS « Vers une généralisation de la clinique des signes discrets », ainsi que les minutes publiées régulièrement sur le site de la NLS nous ont servi de boussole, mais il y en a eu d’autres.

C’était le point de départ de notre travail de lecture, de réflexion, de recherche. La psychose ordinaire n’est pas un catégorie clinique, c’est un signifiant introduit dans notre champ de travail clinique par Jacques-Alain Miller lors de la Conversation d’Antibes en 1998. Ce texte a été publié avec la Conversation d’Arcachon (1997) et Conciliabule d’Angers (1996), sous le titre « La conversation d’Arcachon. Cas rares, les inclassables de la clinique » publié en 1997.

L’introduction de ce signifiant a été une manière de nommer les modifications dans la présentation clinique. Alexandre Stevens nous dit : « Ce n’est pas un concept clair avec des limites précises.
C’est plutôt une ouverture à la discussion pour une série de cas impossibles à trancher. Mais ce flou de limites va bien avec la clinique de la continuité qui est la dernière clinique de Lacan comme l’a développée Jacques- Alain Miller. »

Il s’agit alors d’une clinique orientée par le dernier enseignement de Lacan, une clinique au-delà du binaire névrose – psychose qui s’oriente du réel. Une clinique qui prend en compte les mutations de l’Autre, de l’époque. Cette orientation clinique suppose une relecture de la fonction du Nom-du-Père et des trois registres RSI, comme nous dira dans son texte notre collègue Babeth Hamel : « Une lecture borroméenne de la clinique ».

Pour cette soirée, nous avons eu l’intervention de deux de nos collègues, Babeth Hamel et Nelson Feldman. Chacun d’entre eux a choisi une modalité de présentation différente.

Lire le compte rendu complet sur le fichier pdf joint

 

 


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