Victime de la mode, victime du système, victime de
son chef ou de
son conjoint…
la figure de
la victime est
centrale dans
le monde
contemporain.
Des savoirs
experts la
définissent,
l’explorent,
la font
exister
(victimologie,
histoire,
droit…). Elle
est
omniprésente
dans le
traitement
médiatique des
faits de
société ou des
faits divers,
et nourrit
bien des
œuvres d’art.
L’enfant en
est une figure
exemplaire,
victime idéale
en tant que
l’imaginaire
commun le pare
de la pureté
et de
l’innocence.
La
psychanalyse
lacanienne,
cependant,
fait là un pas
de côté : de
quoi est-on
victime, au
bout du
compte, sinon
de
l’aliénation
signifiante en
tant qu’elle
est moyen de
jouir ?
Cela vous
donne une idée
? Venez nous
rejoindre dans
la préparation
du congrès !
(Envoyez vos textes de 4000 signes maximum
espaces
compris
à blog.pipol7@gmail.com,
avec un résumé
(500 à 600
signes max
espaces
compris) et
une image
d’une taille
minimum de
800×600
pixels).
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