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CONGRÈS – NLS – CONGRESS 2021 

  22-23 May / mai 

Bodily Effects of Language

//

Effets corporels de la langue

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23 April  – via Zoom

Space Formation of the Analyst & Its School: 

To be an Analyst: a Work in Progress

 with Jérôme Lecaux

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Effets de trou dans l'inconscient

"L’écriture est une trace où se lit un effet de langage"
— Lacan, XX, 110



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NLS Congrès présente

Perla Miglin
Effets de trou dans l'inconscient

…Todo sucede por primera vez, pero de modo eterno.
El que lee mis palabras está inventándolas (la Dicha, Jorge Luis Borges)

Lors d'une rencontre avec Florencia Shanahan en Israël, alors qu’elle venait d’être nommée Analyste de l'École, elle nous a dit qu'elle avait fait l’expérience qu'il n'y a pas d'Autre de l'Autre, dans le moment où elle parlait avec chacun de ses passeurs. Il est certes bien difficile de saisir dans son discours l’impact de cet effet de la langue sur le corps. Cependant, ce qu'elle a transmis a résonné pour moi comme ces vers qui ferment le poème de Borges que je choisis comme exergue, et qui parviennent à me faire saisir la portée de son dire.

Déjà lors du Congrès précédent sur « L’Interprétation, de la vérité à l'événement », j'avais traité de la question de savoir ce que serait un inconscient analysé. Une phrase de Lacan, dans sa “Lettre pour La Cause freudienne”, écrite en octobre 1980, m’avait un peu éclairé : « Élaborer l'inconscient, comme il se fait dans l'analyse, n'est rien qu'y produire ce trou. Freud lui-même, je le rappelle, en fait état ».

Aujourd’hui, je veux citer deux références de Jacques-Alain Miller plus une de Rose-Paule Vinciguerra pour faire un pas de plus, en lien avec le témoignage de Florencia Shanahan :

1. « On éluderait donc, dans la psychothérapie, ce qui mettrait la toute-puissance de l'Autre en défaut. On préserverait, dans la psychothérapie, la consistance de l’Autre, alors que ce qui serait le propre de la position analytique, qui ouvre à la psychanalyse proprement dite, ce serait déjà, en admettant la question de la jouissance, d’inconsister l'Autre. » (1) Florencia Shanahan en apporte le témoignage dans l’expérience même de sa passe. On se dit alors : « Il fallait le dire ».

2. « Un inconscient analysé se distingue si je puis dire d’un inconscient sauvage, un inconscient analysé a des propriétés singulières, un inconscient plus son élucidation, ça fait qu’on rêve autrement, ça fait qu’on n’est pas soumis aux actes manqués et aux lapsus de tout le monde, ça n’annule certes pas l’inconscient mais ça fait que ses émergences se distinguent.(…) Il me semble néanmoins que si une École de psychanalystes a un sens, c’est qu’elle devrait permettre à l’analyste de témoigner de l’inconscient post-analytique, c’est -à- dire de l’inconscient en tant qu’il ne fait pas semblant. » (2)

3. « L’inconscient est structuré comme un langage, le “un” importe aussi. “Un” langage en effet, ce n’est pas “du” langage, (…) Et comment entendre ce comme. Comme, ce n’est pas par, dit Lacan. (…) Ce “comme” souligne un débordement du modèle linguistique par la structure de l’inconscient, réalisant peut-être la subversion que Lacan fait subir à la linguistique (…) À cet égard, il revient à l’interprétation psychanalytique de faire exister l’inconscient comme un langage (…) Ce “un langage” comme lequel l’inconscient est structuré n’est qu’un effet d’après-coup de la découverte de l’inconscient.  Lacan le confirme, et va même plus loin lorsqu’il énonce : “Si j’ai dit que le langage est ce comme quoi l’inconscient est structuré, c’est bien parce que le langage, d’abord, ça n’existe pas” (…) Ainsi l’inconscient, comme savoir qui se déchiffre, s’articule-t-il de lalangue (…) Ainsi l’effet de sens produit par l’équivoque n’est pas tout, et comme J.A.Miller le souligne, l’interprétation psychanalytique a aussi , dans sa pointe, “effet de trou”. » (3)
 

(1) Miller J.-A., « Psychanalyse pure, psychanalyse appliquée et psychothérapie », La Cause freudienne n°48, mai 2001, p. 14.

(2) Miller J.-A., L'Orientation lacanienne II, 2008-2009, Choses de finesse en psychanalyse, Cours du 19 novembre 2008.
(3) Vinciguerra R.-P., « Lacan, le linguistique & la linguisterie », La Cause freudienne n° 79, 2011, p. 283-85.
 
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Saturday 24 April 


Towards NLS – Congress 2021

English Seminar : Conference 
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with  Yves Vanderveken

 11:00 am – Montreal Time


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« Buster »

"L’écriture est une trace où se lit un effet de langage"
— Lacan, XX, 110



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Lieve Billiet
« Buster »
 

Né Joseph Francis Keaton, c’est à une formidable dégringolade (buster) à l’âge de six mois, du haut d’un escalier, dont il sort sans la moindre blessure, qu’il doit son nom d’artiste[1]. Scène inaugurale, rencontre d’un signifiant et d’une expérience de corps, fixant une expérience de jouissance en l’articulant à une fiction d’invulnérabilité.
 
Tout jeune, il intègre le théâtre de vaudeville de ses parents et emmènera Les trois Keatons à un succès inouï. Affiché comme “serpillière humaine”, “projectile humain”, ou encore “Le garçon qui ne peut être blessé”, il y est l’objet des manipulations de son père. Celui-ci le jette dans la fosse d’orchestre, l’emploie comme chiffon à poussière, sac à patates ou ballon de foot[2]. Et tout en s’amusant, selon son propre dire, plus il garde le visage impassible, plus les spectateurs rient. Cela lui vaudra cet autre nom : The Great Stone Face.  Maltraité par son père “pour rire”, jeté comme la bobine du Fort-Da, c’est bien un “message de jouissance” qui est à l’avant-plan et non un message d’amour[3]. Une jouissance qui ne se localise pas dans l’image du corps, et qui n’est pas negativée par la castration.
 
A 21 ans, il part à New York où Roscoe Arbuckle lui apprendra tout sur la construction d’un film et le maniement de la caméra. Le style de ses propres films, 19 court-métrages et 12 long-métrages, se démarquera pourtant nettement du style de son maître.  A la profusion et l’éclatement narratif de la majorité des films de Fatty s’oppose la rigueur, l’unité, la limpidité des films de Keaton, merveilles de rythme, de logique et de géométrie[4]. Il développera « un style unique, fondé sur la virtuosité d’un corps en mouvement, éprouvé, en plans d’ensemble, par un espace qu’il peine à dominer »[5]. Impassible et infatigable, aux prises avec un monde, avec les objets et les autres, le héros keatonien, pragmatique, s’adapte, et par là triomphe[6].
 
Refusant de se faire doubler par un stuntman pour des exploits extraordinaires, il échappera de peu à la mort à plusieurs reprises lors des tournages. Non pas forcément aux accidents. Seulement, la fracture d’une vertèbre cervicale ne sera découverte que des années plus tard et par hasard lors d’une radiographie.
 
Keaton réussira à élever un escabeau ce qu’il a de plus singulier, jusqu’à ce qu’un nouveau style de gestion chez MGM se soldera par la perte de toute indépendance. Privé de son style, de son personnage, de sa méthode de travail, on ne retrouvera plus rien de son génie dans tout ce qui suivra.

 

[1] B. Keaton & C. Samuels, My wonderful world of slapstick, Da Capo Press, 1982, p. 20
[2] S. Goudet, Buster Keaton, Cahiers du Cinéma, Paris, 2007, p. 12
[3] J.-A. Miller, L’image du corps en psychanalyse, La Cause freudienne, 68, p. 95
[4]  S. Goudet, o.c. , p. 19
[5] Ibid., p. 9
[6] J.-P. Coursodon, Buster Keaton, Paris, Atlas/Pierre Lerminier, 1986
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Lieve Billiet
"Buster"

Born Joseph Francis Keaton, he owes his name as an artist to a formidable tumble (buster) at the age of six months, from the top of a staircase, from which he emerged without the slightest injury[1]. This was the inaugural scene, the meeting of a signifier and an experience of the body, fixing an experience of enjoyment by linking it to a fiction of invulnerability.

As a young man, he joined with his parents' vaudeville theatre troupe and led The Three Keatons to unprecedented success. Labelled as a "human mop", "human projectile", or "the boy who can't be hurt", he is the object of his father's manipulations. He throws him into the orchestra pit, uses him as a dust rag, a potato sack or a football[2]. And while he is having fun, according to his own words, the more he keeps his face impassive, the more the audience laughs. This earned him another name: The Great Stone Face.  Mistreated by his father “for laughs”, thrown away like the bobbin of Fort-Da, it’s a “message of jouissance” that is at the forefront and not a message of love[3]. A jouissance that is not localised in the image of the body, and that is not negated by castration.

At the age of 21, he moves to New York where Roscoe Arbuckle taught him everything about film making and camera work. The style of his own films, 19 short films and 12 feature films will nevertheless be clearly different from his master's style.  The profusion and narrative explosion of most of Fatty’s films is contrasted with the rigour, unity and clarity of Keaton's films, marvels of rhythm, logic and geometry[4]. He will develop "a unique style, based on the virtuosity of a body in motion, tested in long shots by a space that it struggles to dominate"[5]. Impassive and indefatigable, grappling with a world, with objects and with others, the Keatonian hero, pragmatic, adapts, and thus triumphs[6].

Refusing to be doubled by a stuntman for his extraordinary exploits, he narrowly escapes death on several occasions during filming. Not necessarily from accidents. The fracture of a cervical vertebra was only discovered years later by chance during an X-ray.

Keaton was able to elevate an escabeau that was exceptionally singular, until a new management style at MGM resulted in the loss of all independence. Deprived of his style, his character, his working method, none of his genius will be found in anything that follows.

Translation: Raphael Montague

[1] B. Keaton & C. Samuels, My wonderful world of slapstick, Da Capo Press, 1982, p. 20.
[2] S. Goudet, Buster Keaton, Cahiers du Cinéma, Paris, 2007, p. 12.
[3] Miller, J.A., The Image of the Body in Psychoanalysis, Transl. A. Alvarez in Lacanian Ink 40, Fall 2012, pp. 14-31.
[4] S. Goudet, op. cit. p. 19.
[5] Ibid. p. 9.
[6] J.-P. Coursodon, Buster Keaton, Paris, Atlas/Pierre Lerminier, 1986
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24 April  – via Zoom

Towards NLS Congress: 

Language and Body: A Mysterious Connection

 with Jérôme Lecaux

11 am Dublin Time 

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Freud's Trace

"Writing is a trace in which an effect of language can be read"
— Lacan, XX, 121



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Hamutal Shapira
Freud's Trace

An artwork by Susan Hiller (2005) named “The Curiosities of Sigmund Freud” captures an interesting ‘bodily trace’, left by Freud. This is part of a wider set made up of nine Iris giclée prints on Japanese hand-made paper, based on eight uncatalogued (and unpublished ) glass slides from the Freud Museum in London and a letter written by Freud [1]
 
I will relate to this fragment of the letter.
A mark (of the body)  Freud insists on highlighting, and Hiller, in her artistic brilliancy, re-finds, and brings out to light.
 
On  August 9, 1882,  Freud writes Marta Bernays, his fiancé at that time, a letter. In this letter we can see Freud circles two ink blots  around this:
'Here the pen fell out of my hand and inscribed these secret signs. I beg your forgiveness and ask that you not trouble yourself with an interpretation'.
 
What is this ׳bodily mark׳? 
An object falling from a hand, making 2 marks, which Freud, and  then Hiller, encircle, expose,
un – cover.
 
Some thoughts-
A pen can fall. Fail. Freud insists on un-covering this ‘failure’, insists on leaving this trace. Is he  introducing a formation of the unconscious? (Psychopathology of Everyday Life, 1901).
Freud is very straight forward : “I beg … ask that you not trouble yourself with an interpretation …”.
Negation? Desire for silence?
 
It seems that Freud is touching upon something of the real. This is a ‘slip of the pen’, literally. Something that has to do with exposing a bit of real, baring it, not covering it with sense. Suspending meaning.
Freud, already in 1882, is betting on jouissance,
 
“What doesn't lie is jouissance, the jouissance of the speaking body”.[2]
How to understand  these ‘secret signs’ he calls them, which stain the letter as well as the precious handmade paper of Hiller’s prints?
Is it about  Lacan’s stain (or spot), that which is out of place in the picture and therefore draws attention to the screen – the unnoticed but essential support of the gaze as it differentiates itself from looking? [3]
Or,
Can we say it resonates Lacan saying in Seminar XX [4]: 
“What is the speaking body? Ah, that's a mystery".


[1] Hiller S. (2005),
http://www.susanhiller.org/otherworks/curiosities_freud.html
[2] Miller, J.A (2014), The Unconscious and the Speaking Body, Presentation for the theme for the Xth Congress of the WAP in Rio de Janeiro.
[3] Lacan J. (1977), Seminar XI, The Four Fundamental Concepts of Psychoanalysis, Hogarth, pp. 97-100.
[4] Lacan J. (1988), Seminar XX, Encore, Norton, pp131.
 

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NLS Congrès présente

Hamutal Shapira
Une trace de Freud

Un travail artistique de Susan Hiller (2005) appelé « les curiosités de Sigmund Freud » capture une «   trace  de corps » intéressante laissée par Freud. Elle fait partie d’un ensemble plus large composé de 9 impressions Iris giclées sur papier japonais fait main, à partir de huit lames de verre non répertoriées (et non publiées) du Musée Freud à Londres et une lettre écrite de la main de Freud.
 
C’est d’un fragment de cette lettre dont je vais parler, une marque (du corps), Freud insiste sur sa mise en valeur, que Hiller dans son génie artistique retrouve et va mettre en lumière.
Le 9 août 1882 Freud écrit  une lettre à Marta Bernays, encore sa fiancée à l’époque. On peut voir dans cette lettre que Freud a encerclée deux taches d’encre qu’il commente ainsi : « à cet endroit le stylo est tombé de ma main et a inscrit ces signes secrets. Je te demande pardon et te prie de ne pas t’embêter avec une interprétation ».

 Qu’est-ce que cette marque corporelle ? un objet tombant d’une main faisant deux marques que Freud et ensuite Hiller encercle et expose, dé-couvre.

Quelques réflexions-
Un stylo peut tomber. Freud insiste pour dé-couvrir ce « raté », il insiste pour laisser cette trace. Est-il en train d’introduire une formation de l’inconscient ? (Psychopathologie de la vie quotidienne, 1901).
Freud est très direct : Je te demande de ne pas t’embêter avec une interprétation ».
Négation ? Désir de silence ?
 
Il semble que Freud touche là quelque chose du réel. C’est un « lapsus du stylo ». Quelque chose qui a à voir avec la monstration d’un bout de réel, le découvrant sans le recouvrir de sens, suspendant la signification.
Déjà Freud en 1882 parie sur la jouissance.

« Ce qui ne ment pas, c’est la jouissance, la jouissance du corps parlant ». [1]
Comment comprendre ces signes secrets comme ils les appellent, qui tache la lettre en même temps que le précieux papier fait main des estampes de Hiller.
Serait-ce en rapport avec la tache ou le point de Lacan décalé dans l’image et qui donc attire l’attention sur l’écran, support invisible mais essentiel au regard comme différencié de la vue. [2]
Ou bien
Pouvons-nous dire que ça résonne avec le dire de Lacan dans le séminaire XX ? Qu’est-ce que le corps parlant ? c’est un mystère. [3]
 
Traduit par Jean Luc Monnier
 


[1] Miller J.-A. L’inconscient et le corps parlant, présentation du thème du Xème congrès de l’AMP à Rio de Janeiro.
[2] Citation introuvable dans le texte français
[3] voir le séminaire XX citation introuvable comme telle.
 
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